J'ai fermé les yeux
Et tout était noir
J'ai fait un voeu
Pour anéantir mon désespoir
J'ai vu ma mère pleurer
Dans l'obscurité
Sa vie s'est effondrée
Comme la mienne lorsque tu nous a quittées
Nous étions tes trésors
Mais c'est toi qui avais un coeur en or
Et maintenant tu dors
Pour toujours et plus encore
J'aimerai tant que tu sois la
cher papa...
Dans un avenir que je souhaite plein d'espoir
Tu es la seule chose à laquelle je ne peux croire
(extré du roman Le journal d'Aurélie Laflamme 4)